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Etat des lieux des Ecoles de Devoirs

  • Thème(s): Enfance
  • Auteur(es):
    • Rapport 2008-2011 : Dominique ROSSION et Anne SWALUE
    • Rapport 2011-2014 : Lorise MOREAU et Dominique ROSSION
    • Rapport 2014-2017 : Dominique ROSSION et François MOORS
    • Rapport 2018-2022 : François MOORS
       
  • Année(s):

Résumé

Contexte

Le Décret du 28 avril 2004 qui reconnait et soutient financièrement le secteur des écoles de devoirs (EDD), prévoit que l’OEJAJ réalise un état des lieux du secteur, à un rythme triennal. Cet état des lieux doit être diffusé largement auprès notamment des EDD reconnues, de l’ONE, du Conseil d’Avis de l’ONE, du Service de la Jeunesse ainsi que du Ministre de l’Enfance et du Ministre de la Jeunesse.

Objectif

 Assurer le monitoring du décret en réalisant un état des lieux régulier permettant d’informer les responsables politiques et administratifs de l’évolution du secteur.

Méthode

Les états des lieux sont basés principalement sur les rapports d’activité (RA) des EDD, sur les données administratives fournies par l’ONE et sur un retour direct du secteur. Ces états des lieux s’appuient sur des points d’analyse communs à travers les exercices mais également sur des focus différents selon les questionnements suscités par l’exercice précédent.

Résultat

Parmi tous les résultats issus des points d’analyse communs à travers les exercices (tels que les types d’activités organisés, la composition des équipes ou la coordination avec les autres acteurs sociaux et éducatifs) ou les focus particuliers (tels que les infrastructures utilisées ou la participation des enfants), il semble important de rappeler ici les lignes de tensions qui se dégagent à travers les exercices (les premières données récoltées datant de 2008). Ainsi, il est pointé à travers les 3 exercices réalisés à ce jour :

  • le trop faible financement du secteur qui implique la nécessité de compter sur des volontaires pour renforcer les équipes, la recherche permanente de subsides entrainant une charge administrative et la nécessité pour certaines EDD de trouver des infrastructures mise à disposition gratuitement ;
  • une offre largement dépassée par la demande entrainant impliquant une gestion de listes d’attente et la nécessité de refuser parfois massivement des enfants ;
  • une identification problématique du secteur liée à la confusion entre l’enseignement et les écoles de devoirs.